En début d’après-midi, Anaïs se rendit dans la forêt à l’arrière du jardin. C’était une des choses qui lui manquaient le plus à Nice : la forêt. Et pas n’importe laquelle, celle dans le jardin de sa grand-mère. Il y avait quelque chose de spécial ici qu’Anaïs avait du mal à comprendre. Il n’y avait que dans cette forêt qu’elle se sentait aussi bien, comme si elle y était accueillie.